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Manif pour Tous  : Mobilisés à Zürich

23 mars 2013

La manif pour tous à Zürich : C'est aujourd'hui !

La manif pour tous à Zürich : C'est aujourd'hui !
Bonsoir depuis Zürich, Cet après-midi, 80 personnes se sont rassemblées devant le Consulat de France à Zürich. Bon esprit, ambiance familiale, animations et goûter pour les enfants... Lecture et signature de la lettre aux sénateurs. Nous étions heureux...
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21 mars 2013

La voix de Bobby

Venu des USA, Bobby, fils de lesbiennes, bisexuel, marié et père, vit dans le milieu gay. Il est contre le mariage pour tous et il lance un appel à la France, pays des droits de l'homme, pour qu'elle soit fidèle à son histoire. Il dénonce aussi la vente...
21 mars 2013

La Loi Taubira approuvée en commission au Sénat in extremis

La loi Taubira n'a été approuvée en Commission des Lois au Sénat aujourd'hui qu'in extremis, grâce au vote favorable de deux sénateurs UMP représentant les Français de l'Etranger. Notre mobilisation n'en est que plus importante. Nous comptons sur vous...
21 mars 2013

Les Antilles massivement contre le "mariage pour tous"

Les Antilles sont massivement opposées au projet de loi Taubira, comme le révèle un sondage de l'institut Louis Harris. 

Ce sondage a été réalisé du 12 mars au 18 mars 2013 sur un échantillon représentatif de 1 200 personnes.

La question posée était la suivante : "Comme vous le savez peut-être, aujourd’hui en France, le fait de se marier donne automatiquement aux époux le droit à l’adoption. En ce qui vous concerne, êtes-vous plutôt favorable au fait que :
- Les personnes de même sexe bénéficient du droit au mariage, et donc, du droit à l’adoption ou bien,
- Les personnes de même sexe bénéficient d’une union civile, qui ne donne pas le droit à l’adoption, mais qui offre des droits plus larges que le PACS ou bien,
- Vous estimez que la loi française accorde aujourd’hui un niveau de reconnaissance et de protection suffisant aux couples de même sexe ou bien
- Sans opinion" (modalité non-citée).

Les résultats sont sans appel : les antillais et guyanais sont massivement opposés au projet de loi : à peine 12 % des antillais sont favorables au mariage et à l’adoption, et 33 % chez les Guyanais.(pour mémoire, 39 % seulement des Français sont favorables au projet, cf. sondage IFOP pour Vita)

18 mars 2013

La manif pour tous à Paris : refus de la préfecture de police

Communiqué de presse de M. Bruno Retailleau, sénateur de la Vendée, suite au refus de la Préfecture de Police de Paris de manifester sur les Champs-Elysées

La Préfecture de Police de Paris vient d’interdire aux opposants au mariage pour tous de défiler le 24 mars sur les Champs Elysées.

C’est un véritable déni de démocratie alors que régulièrement, des manifestations revendicatives, festives ou sportives sont organisées sur cette avenue, qui est l’un des symboles des grands défilés populaires de notre histoire. La Manif pour Tous a d’ailleurs fait la preuve de son sérieux : pas un incident n’a été à déplorer le 13 janvier dernier, ce qui est exceptionnel pour un rassemblement de cette importance.

Il n’existe donc aucune raison valable d’interdire l’accès des Champs Elysées et Bruno Retailleau demande à Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, de remplir son rôle en garantissant la liberté d’expression et de manifestation des Français.

Depuis des mois en effet, le gouvernement et la majorité méprisent ouvertement les opposants au mariage pour tous. Le CESE s’est vu intimer l’ordre de rejeter les 700 000 signatures de la plus grande pétition de la Vème République ; le rapporteur du Sénat a refusé de recevoir le collectif qui avait pourtant rassemblé plus de 1 million de personnes. Et l’on ne compte plus les vexations subies : nombre de manifestants outrageusement sous estimé, facture d’entretien du Champs de mars réclamé par la mairie de Paris, interdiction d’un rassemblement pacifique devant l’Assemblée Nationale, etc.

Comble du cynisme : la gauche étouffe la voix du peuple d’autant plus facilement qu’elle sait très bien qu’elle ne prend aucun risque avec des Français qui ne cassent pas les vitrines.

Mais cette fois, le Gouvernement est allé trop loin. Actuellement, l’exaspération est à son comble et elle va déferler pacifiquement dans les rues de Paris le 24 mars.

Bruno Retailleau appelle d’ailleurs tous les Vendéens à manifester le 24 mars en utilisant notamment les moyens de transports mis à leur disposition par lamanifpourtous85.

Cette mobilisation est essentielle pour donner aux Sénateurs la force nécessaire pour faire échouer le projet de loi qui sera discuté au Sénat à partir du 5 avril.

 

Bruno Retailleau

Sénateur de la Vendée

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18 mars 2013

12 résistances au “mariage gay”

Un « avant-projet de loi » gouvernemental instaurant le mariage entre deux personnes de même sexe avec droit d’adopter a été divulgué par la presse. Aussitôt les représentants du lobby homosexuel se sont dit «  déçus  », réclamant le droit à la procréation artificielle. Face à ces groupuscules, minoritaires parmi les personnes homosexuelles, la résistance se développe sur 12 fronts.

1/ Personnes adoptées

Les personnes adoptées ont vécu dans leur première enfance une rupture ou un deuil avant d’être confiées à une vraie famille. Beaucoup sont indignées  : pourquoi priver d’autres enfants adoptés de cette chance d’avoir un papa et une maman  ? Aucun « droit à l’enfant » ne peut conduire à discriminer ceux qui sont déjà très vulnérables, et dont on connaît la fréquente quête d’identité.

2/ Couples en attente d’enfants adoptables

Parmi les 25 000 couples en attente d’enfants à adopter, beaucoup sont choqués qu’on présente l’adoption homosexuelle comme alternative à l’orphelinat. Car en réalité, moins de 1 000 enfants nés en France sont confiés chaque année à l’adoption. Et l’adoption internationale concerne de moins en moins d’enfants (2 000 en 2 011). Si la France légalisait l’adoption homosexuelle, la plupart des pays étrangers deviendraient plus restrictifs pour confier leurs enfants à l’adoption.

3/ Personnes concernées par les situations dites « d’homoparentalité »

La « pensée unique » prétend que tout va pour le mieux pour les enfants élevés dans un cadre homoparental… Mais la réalité est autre : des jeunes adultes élevés par deux hommes ou deux femmes ont commencé à confier les difficultés liées au manque d’un père ou d’une mère ; des grands-parents aussi ont été témoins attristés de ces souffrances. D’ailleurs une bonne part des adultes qui éprouvent un désir homosexuel récuse, au nom de l’intérêt des enfants, le droit de se marier et d’en adopter.

4/ Parents engagés dans les associations familiales

Le mouvement familial met en garde contre la déstructuration de la famille, même s’il faut bien sûr aider les parents en difficulté. Avec le mariage homosexuel, d’autres bouleversements sont à attendre : par exemple, dans le livret de famille de tous les couples, il faudra supprimer les mentions « père » et « mère » pour les remplacer par « parent A » et « parent B », ou  « parent 1 » et « parent 2 ». Les fêtes des mères et des pères devraient être fusionnées en « fête des parents ».

5/ Féministes

Derrière le prétendu « droit à l’enfant », se pose la question des mères porteuses que revendiquent certains hommes. Instrumentalisation du corps de la femme, ce « nouvel esclavage » inquiète les féministes. Il risque d’être promu au nom d’un principe de non-discrimination entre les femmes et les hommes, ces derniers étant incapables d’enfanter.

6/ Professionnels de l’enfance

Bien placés pour constater les dégâts provoqués par l’instabilité affective des adultes et les ruptures familiales, les éducateurs sont déjà confrontés aux souffrances des enfants auxquels on a fait croire qu’ils ont deux papas ou deux mamans. Comment affronter avec une telle fiction les étapes de l’adolescence  ? Même si l’impasse éducative dans laquelle sont enfermés les tenants de « l’homoparentalité » reste un sujet tabou, elle est dans toutes les têtes.

7/ Psychologues et psychanalystes

Pour ces praticiens, prétendre qu’un enfant peut parfaitement se passer d’un père ou d’une mère, c’est nier les découvertes récentes sur la construction psychique précoce de l’être humain. Des « psy », témoins des souffrances identitaires des enfants privés de toute référence paternelle ou maternelle, dénoncent les conséquences de « l’homofiliation ».

8/ Maires et conseillers municipaux

Les maires sont en première ligne pour faire le lien entre déstructuration familiale et précarité sociale. Au nom de l’intérêt de l’enfant, une majorité d’entre eux et de leurs adjoints, en tant qu’officiers d’état civil, ne veulent pas célébrer en mairie un « mariage » entre deux hommes ou deux femmes. Certains de ces « réfractaires » ont prévenu qu’ils feraient jouer la clause de conscience que le gouvernement prétend leur refuser.

9/ Associations de protection de la dignité humaine et de la vie

La revendication du « mariage homosexuel » comprend l’accès à la procréation artificielle. Les femmes réclament l’insémination artificielle (qui occultera totalement le père biologique) et les hommes les mères porteuses (qui ne seront considérées que comme des « gestatrices »). Par ailleurs, la prétendue « homofiliation » alimente le rêve de bricolages génétiques visant à fabriquer des êtres humains avec les gènes de plusieurs hommes ou femmes. A partir du mariage homosexuel, on fantasme sur l’abandon de la reproduction sexuée.

10/ Représentants des religions

Les religions reconnaissent que le couple composé d’un homme et d’une femme est le fondement de la famille, et offre le meilleur cadre pour accueillir et élever des enfants. Les prises de parole des autorités spirituelles gardent un réel impact dans une société en attente de repères solides.

11/ Experts

Philosophes, juristes, sociologues, scientifiques : des personnalités de sensibilités variées alertent contre les dangers d’une dénaturation de la notion de famille. Elles révèlent les imbroglios juridiques, la confusion culturelle et les aberrations scientistes qui se cachent derrière le fantasme d’un « mariage pour tous ».

12/ Décideurs politiques

Le sujet de société est devenu politique. A droite, mais aussi à gauche, les fronts de contestation s’organisent. Ils argumentent sur le fond ou la forme. Des élus estiment ainsi qu’en période de crise économique, bouleverser les fondements de la société, c’est prendre le risque de diviser durablement les Français.

 

Par Tugdual Derville, Délégué général d’Alliance VITA

 

18 mars 2013

On est là partout !

 

Une mobilisation sans précédent se profile pour le week-end du 23 et du 24 mars. Pour Paris, les demandes de cars sont encore plus importantes qu'en novembre.

Les Français du monde entier organisent des rassemblements : Hambourg, Londres, Houston, Madrid, Québec, Bangkok, Sydney, Nouméa et bien d'autres :

http://www.lamanifpourtous.fr/international/actions_hors_metropole/

 

Venez rejoindre les Français de Suisse et faire la fête le 23 mars !

On ne lâche rien !

14 mars 2013

Inscrivez-vous à la manif

 

 

 

14 mars 2013

On ne lâche rien

On ne lâche rien
14 mars 2013

PMA, GPA : comprendre les enjeux

Il est important de comprendre qu'en votant la loi Taubira, c'est-à-dire le "mariage pour tous" et l'adoption pour tous, la France adoptera nécessairement la PMA (Procréation Médicalement Assistée), puis la GPA (Gestation Pour Autrui, ou mère-porteuse).  

Puisque c'est au nom du principe d' "égalité" que l'on veut imposer le mariage homosexuel, au nom de quoi refuserait-on à ces couples, reconnus par la loi, d'avoir également des enfants ? 
Ainsi les femmes pouvant avoir recours à la PMA, très vite les hommes réclameront eux aussi leur "droit à l'enfant" et au nom de l'égalité toujours, on adoptera la GPA. Et si par hasard, le gouvernement français ne le faisait pas de lui-même, la Cour européenne des droits de l'homme lui imposerait au nom de la non-discrimination fondée sur l'orientation sexuelle. 

Un statut unique de "mariage pour tous" implique que les droits et obligations liés à ce statut soient les mêmes "pour tous".

 


 

PMA, GPA, les véritables conséquences

Les Maires pour l'enfance

     
PMA : la France a déjà voté...mais elle ne le sait pas encore    Le Figaro
     


 

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